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Paris, 1661. Le cardinal Mazarin, parrain du jeune roi Louis XIV et véritable maître du royaume, n’a plus que quelques jours à vivre. Entre Colbert, son âme damnée, et Fouquet, le flamboyant ministre des Finances, un duel sans merci fait rage autour de sa succession.
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Depuis plusieurs jours la presse ne cesse de nous donner des détails indécents sur la vie d'Edouard Stern.
Tout homme a le droit au respect de sa dignité, vivant ou mort.
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Cet acte est puéril, ridicule et inconvenant.
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Beaucoup avait été écrit sur l'un des plus grands acteurs français mais pour la première fois nous en saurons un peu plus par ceux qui étaient les plus proches de Louis de Funès : ses deux fils.
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Trop souvent banalisée à la télévision voire par des responsables politiques, la prise de stupéfiants ne peut plus être considérée autrement que par sa réalité : l'asservissement de l'homme.
Trop souvent, trop longtemps, certains, probablement pour se dédouaner de leurs actes personnels illicites ou pour "se démarquer" et braver l'interdit ont fait croire à l'existence de drogues dures et de drogues douces et ont voulu la banalisation du cannabis.
Quelle irresponsabilité criminelle !
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En faisant figurer parmi mes liens celui de gaylib, j'apporte mon soutien à une démarche noble et responsable menée par des militants ou sympathisants de l'UMP.
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M. Fontenette a gagné 150 euros après avoir gagné 7 fois des bons de 15 euros. La chance de notre heureux gagnant est du aussi à sa fidélité à l'emplet'express puisqu'il en est l'un des premiers voyageurs.
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Il a fallu deux réunions pour mener à bien le DOB du SITCOME mais celui-ci fut riche en propositions.
Les propositions du bureau présentées par le Président ont été bien accueillies.
A la demande des élus de Forges et Laval en Brie, le SITCOME devrait tester avant la fin de l'année du transport à la demande en journée.
Très rapidement, le site internet du réseau SIYONNE sera en ligne et une ligne téléphonique sera ouverte afin de recevoir en temps réel les réclamations des clients.
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De la lecture pour vos soirées, au sommaire : la visite de Jean-Pierre Raffarin et Jean-Louis Borloo à Montereau, la maison à 100.000 euros, coup de gueule contre les syndicats, campagne gouvernementale contre le cannabis et JMAG aux côtés des forces vives de la Nation
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Toute une vie consacrée à son mari et son fils, toute une vie pontuée d'événements heureux mais aussi d'adversité, vendredi matin, j'étais fier d'être aux côtés d'une concitoyenne qui, pour ses 100 ans, nous a témoigné sa satisfaction de la vie.
Un beau message pour les adolescents qui sont parfois mal dans leur peau...
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Le succès fut toujours un enfant de l'audace.
[ Prosper Crébillon ] - Extrait de Catilina
En écoutant notre gagnante de février 2005, je buvais du petit lait.
Sans même que le journaliste de la République puisse avoir le temps de lui poser des questions, cette concitoyenne vantait tous les mérites de la ligne emplet'express : fréquence soutenue, nouveaux horaires plus tard le soir, aménagement intérieur et accès facilité pour les personnes à mobilité réduite, convivialité entre clients et bonne humeur du conducteur, etc ....
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Comme tous les Seine-et-Marnais, je viens de recevoir le nouveau journal d'information du conseil général.
Rien d'original dans une publication qui a pour vocation de vanter l'action de la nouvelle majorité, c'est de bonne guerre et assez classique de démontrer quelques mois après son élection qu'un nouveau départ est pris.
On peut tout de même regretter l'ancienne formule qui faisait moins dans la propagande politique politicienne afin de privilégier l'information.
Cependant j'ai été surpris puis effaré de constater la dernière de couverture qui n'est pas moins qu'une publicité payée par mes impôts contre le gouvernement !
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Hier soir, Mme De Hennau, inspectrice de l'éducation nationale, nous invitait à découvrir le travail réalisé en classes par les élèves de la circonscription.
Créations poétiques mais aussi mise en valeur de ces dernières, lecture de deux poèmes par Maxime Daniel, comédien diseur.
Devant tant de créations artistiques, je suis dit que le travail des membres de l'Education Nationale devait être bien difficile devant la suprématie des médias audiovisuelles qui maintient volontairement ses consommateurs dans la médiocratie intellectuelle.
Le PDG de la chaîne française la plus regardée qui admet que sa mission est d'abord de vendre de la pub, des parents peu regardant qui se disent que la TV est une nounou peu chère et qui laissent les enfants parfois jusqu'à plus d'heure au lieu de les coucher et de leur raconter des histoires, ces mêmes enfants vautrés sur les tables d'écoles le lendemain matin.... et tous ces enseignants qui galèrent....
Victor Hugo disait que " les instituteurs sont les jardiniers de l'intelligence humaine".
En 2005 ils sont aussi les garants de cette intelligence et le dernier rempart de la médiocrité.
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Tout d’abord, je vous rappelle que la loi A.T.R. (Administration Territoriale de la République) du 6 février 1992 impose aux communes de plus de 3500 habitants, ainsi qu’aux établissements de coopération intercommunale comprenant au moins une commune de plus de 3500 habitants, un débat permettant aux élus d’être consultés sur les orientations budgétaires dans un délai de 2 mois précédant l’examen du budget primitif.
Les conditions d’organisation de ce débat doivent être fixées par le règlement intérieur du syndicat. La nature de cette consultation ne lie pas juridiquement le Président, et en aucun cas elle doit se traduire par un vote. Elle doit uniquement contribuer à accroître la participation des délégués syndicaux.
Le débat d’orientations budgétaires annuel permet à chacun de s’exprimer au moment où le bureau travaille à la préparation du budget primitif.
Ainsi vos remarques et vos suggestions peuvent être entendues et le bureau peut essayer de les prendre en considération au moment le plus opportun.
Pour autant l’exercice est très limité au sein de notre syndicat puisque la vocation unique de notre syndicat d’une part et les conventionnements pluri-annuels avec les opérateurs et le conseil général d’autre part limitent un peu l’exercice à moins, bien sûr, de remettre en cause des décisions prises les années précédentes et qui engagent notre politique à moyen terme.
La stabilité des orientations politiques prises par notre comité se traduit pour nos partenaires financiers comme un gage de confiance et de sérieux de notre action et de notre syndicat.
Les récents contacts pris avec le STIF et le conseil régional pour la mise en place du transport à la demande en sont un nouveau témoignage.
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Depuis quelques semaines le froid nous rappelle que nous somme bien en hiver.
Ce matin je lis que 43 communes du sud du 77 sont privées de transport scolaire compte tenu de l'état du réseau routier (verglas et neige) et des prévisions météorologiques.
Pour autant l'école est toujours ouverte.
En clair, les enfants seront pour la pluspart informés ce matin de l'absence de bus et devront trouver très rapidement une solution de rechange.
La seule solution possible reste donc la voiture.
Ainsi pour sécuriser nos routes, l'administration préfère 50 voitures sur les routes verglacées qu'un car équipé pour affronter le froid.
Comment font-elles les autorités des pays du Nord de l'Europe ? au Canada ?
Supprimer le transport scolaire désengage la responsabilité de l'autorité organisatrice et finalement coûte moins cher que de saler les routes secondaires ...
Vive le principe de précaution....
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