Vous trouverez dans la suite de cette note l'excellent article paru cette semaine dans l'hebdomadaire "le point".
Il reprend de nombreux témoignages qui font l'écho des différents articles que j'ai publiés cette semaine.
J'espère au moins que chaque Français mesure lé réalité même si parfois j'en doute en lisant certains commentaires.
La situation est grave, très grave. On peut toujours polémiquer sur le vocabulaire du Ministre de l'Intérieur, c'est malheureusement le bon.
Des millions de nos concitoyens subissent la tyrannie de la voyoucratie. Des milliers de fonctionnaires qu'ils soient policiers, pompiers(parfois volontaires !), employés communaux, des centaines de médecins, d'infirmiers libéraux, n'en peuvent plus d'être les victimes expiatoires du service public, du service au public...
La vérité est souvent cruelle et je comprends aisément que ceux qui sont responsables de la déliquescence de toutes nos valeurs puissent la trouver odieuse, caricaturale ou fasciste.
Certes, nous n'organiserons pas pour eux de grands procès comme les grandes démocraties populaires qu'ils appréciaient tant en organisaient pour éliminer leurs adversaires politiques. Revenus au pouvoir depuis les dernières élections dans les régions et les départements, ils ont immédiatement voulu organiser un contre-pouvoir gouvernemental. Résultat : augmentation ahurissante des impôts locaux et explosion à la hausse de tous les budgets improductifs : communication, voitures de fonctions, colloques et petits-fours ...
La gauche française restera toujours la même à pleurnicher entre deux cocktails payés par les contribuables sur la détresse des citoyens qu'elle entretient avec un certain souci électoraliste pensant toujours que les gens les plus démunis voteront toujours à gauche... Je garderai toujours un souvenir d'Ivry sur Seine où j'ai travaillé 6 ans et qui sur ce point est un modèle du genre....
L'entretien de Khalid el-Quandili est très intéressant et confirme que nous avons à faire à des poignées d'individus sans foi ni loi et à un retournement complet des valeurs que j'ai déjà maintes fois dénoncé ici : "C'est le monde à l'envers. D'un côté, un père de famille est battu à mort devant sa famille. Associations, élus, personne ne descend dans la rue. A l'inverse, deux adolescents meurent électrocutés dans un accident, et vous avez cinq jours de violence et une marche silencieuse d'un millier de personnes."
L'angélisme n'est plus de rigueur et l'amalgame volontairement entretenu par la gauche entre "les jeunes" et les délinquants a volé en éclat ces derniers jours grâce à la franchise de Sarkozy.
J'espère que l'action gouvernementale fera fi des attaques d'une gauche qui est entièrement responsable de la situation et prendra les mesures qui s'imposent pour permettre à chaque habitant sur le sol Français de vivre librement, dans la sécurité et la dignité.
En combattant le terrorisme intellectuel de la gauche bo-bo, nous pourrons enfin nous attaquer avec raison et sang-froid aux problèmes endémiques de la délinquance.
Paru dans le point du 3 novembre 2005
http://www.lepoint.fr/societe/document.html?did=169858
Cités : la thune, le sexe et la loi du plus fort
Jean-Michel Décugis, Christophe Labbé et Olivia Recasens
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«Face à des keums qui sont niqués de la tête, tu peux mettre tous les keufs que tu veux, ça ne sert à rien. » Dans la salle de quartier de la cité 7/7 à Epinay-sur-Seine, une dizaine de jeunes débattent du meurtre qui a eu lieu dans la cité d'en face, celle d'Orgemont. Il est 15 h 53, ce jeudi 27 octobre, lorsque Jean-Claude Irvoas descend de sa voiture pour prendre en photo un des lampadaires de la rue de Marseille, plaque tournante du trafic de cannabis à Epinay-sur-Seine. L'employé de la société de mobilier urbain a tout juste le temps de sortir son appareil numérique que trois jeunes foncent sur lui. Jean-Claude Irvoas résiste. Il déséquilibre l'un de ses agresseurs qui veut lui arracher l'appareil photo. L'homme, d'une quarantaine d'années, tente de s'enfuir, mais il est ceinturé puis violemment frappé à la tête par le jeune qui s'est relevé entre-temps. Le père de famille s'écroule sous les yeux de sa femme et de sa fille, qui l'attendent dans la voiture. Le drame, filmé par la caméra n° 15 de la police municipale, aura duré 90 secondes. Deux suspects archiconnus des services de police ont été mis en examen dimanche pour « vol suivi de violences ayant entraîné la mort ». Un troisième, qui n'est pas d'Epinay-sur-Seine, est toujours recherché. C'est lui qui a porté le coup fatal.
« A Orgemont, ça deale, lance un grand Black en survêtement rouge et noir. Du coup, c'est la parano. Les keums, tu peux même pas les regarder, alors si tu les photographies tu joues ta vie. » Installés dans les deux grands canapés recouverts de tissus marocains, les autres jeunes acquiescent. Pour eux, la mort du père de famille est un accident, pas un meurtre. Et de s'énerver contre les médias qui ont parlé de « lynchage ». Dans un coin de la salle, la télé crache les images de la chaîne d'information continue LCI, qui diffuse en boucle la nuit d'émeute à Clichy-sous-Bois et les déclarations de Nicolas Sarkozy. « On a le satellite avec 2 000 chaînes, dans cette pièce rien n'est volé », précise un costaud d'une vingtaine d'années avec un piercing dans le nez.
Pour pénétrer dans la cité 7/7, il a fallu montrer patte blanche. Le rendez-vous a été fixé à la station-service Esso. Coincée entre les barres d'Orgemont et la dizaine d'immeubles du 7/7, la station a été entièrement automatisée pour en finir avec les braquages. Pierre N'Doh, 43 ans, figure historique de la banlieue, nous attend « pour éviter les problèmes ». Ici, l'étranger est immédiatement repéré. D'origine camerounaise, Pierre N'Doh vit au 7/7, où il a grandi, avant de créer en 1990 l'Organisation des banlieues unies, qui, à l'époque, voulait fédérer les cités de la région parisienne pour peser dans la politique de la ville.
En vingt ans, Pierre N'Doh a vu la situation dans les cités d'Epinay-sur-Seine devenir explosive. « Ici, ça va, mais à Orgemont c'est la jungle. La seule chose qui compte, c'est la thune, le sexe et la loi du plus fort, lâche, fataliste, le "grand frère", qui impose le respect avec sa carrure. On peut te tuer simplement parce que tu refuses de donner une cigarette. » Dans la rue de Marseille, à la tombée de la nuit, les dealers ne se cachent plus. Le trottoir leur appartient. Lorsque nous passons en voiture, nous sommes « zieutés » par de petits groupes qui nous dissuadent de descendre. « Dans les cités, il n'y a plus que l'économie souterraine. Les associations ont pratiquement toutes décroché, faute de moyens. Ceux qui vont au boulot tous les matins rasent les murs. Il n'y a plus de respect. Ici, se faire traiter de victime est une insulte. » Cela suffirait-il à expliquer l'absence d'indignation après le meurtre de Jean-Claude Irvoas ?
D'année en année, tout ce qui peut représenter de près ou de loin l'institution est vécu comme une provocation qu'il faut bouter hors de la cité. Policiers, pompiers, postiers, médecins... Jusqu'au cirque Zavatta, qui, à la fin de la semaine dernière, a été attaqué alors qu'il avait planté son chapiteau dans un quartier sensible de Fameck, une petite ville de Moselle. Une vingtaine de gamins de la cité du coin ont lancé des pierres contre les caravanes, insulté les clowns et ouvert les enclos de la ménagerie. Ecoeuré, le cirque Zavatta a décidé de plier bagage sans donner la représentation prévue. « Trop souvent, les maires profitent de l'image positive du cirque pour nous envoyer calmer les esprits dans les quartiers sensibles », constate Alexis Gruss (1). Récemment,dans une cité lyonnaise, un artiste a dessiné une fresque avec un groupe de gamins d'une des cités de la ville. Pour illustrer le thème « Nos parents sont venus chercher le bonheur ici », l'artiste a eu l'idée de peindre un grand arc-en-ciel. Ce qui a énervé les jeunes du quartier, qui, persuadés qu'il s'agissait des six couleurs du drapeau gay, ont traduit : « On nous traite de pédés »...
Aujourd'hui, il n'y a plus que les policiers qui peuvent entrer dans certaines cités. Et encore, en force. « Dès qu'on arrive, les jeunes sifflent et se regroupent en quelques secondes, ils s'approchent et nous attaquent, raconte un jeune flic d'une unité anticriminalité de la Seine-Saint-Denis. Aux 4 000, à La Courneuve, on est parfois appelés pour de faux cambriolages, et les jeunes nous attendent pour nous lancer des boules de pétanque. En deux ans, j'ai vécu cinq gros guet-apens. Le dernier, c'était dimanche soir à Clichy-sous-Bois. Ils étaient cent contre nous. On a utilisé nos Flash-Ball et nos grenades lacrymo pour nous dégager. » Un commandant de sécurité publique dans une commune de la grande couronne parisienne qui abrite plusieurs cités sensibles témoigne : « Depuis le deuxième trimestre, on a trois ou quatre voitures qui brûlent par semaine, avec un pic du vendredi au dimanche soir. Les feux de poubelles, on ne les compte plus, c'est la routine. » Le 13 juillet, à Epinay-sur-Seine, les policiers se souviennent d'avoir été confrontés à une véritable « guérilla urbaine » dans l'indifférence générale. « Des voitures incendiées, des conteneurs à poubelles mis en travers des rues pour bloquer le passage des pompiers. Pour nous attaquer, les jeunes ont même utilisé comme lance-roquettes des fusées d'artifice. Et pas une ligne dans les journaux, décrit, amer, un officier du commissariat d'Epinay. Le lendemain, vous recevez des habitants, les larmes aux yeux, qui vous disent qu'ils n'en peuvent plus. » Pourtant, quand on interroge les jeunes d'Epinay, il ne s'est rien passé de grave, juste un « jeu pour rigoler ».
Une piscine remplie d'essence. Cela fait longtemps que les pompiers qui interviennent dans les cités sont escortés par la police. A tel point que les soldats du feu ont créé un code couleurs : vert, orange ou rouge, selon le degré d'ébullition du quartier. « Lors de certaines interventions, j'ai l'impression de nager dans une piscine remplie d'essence avec, tout autour, des gens qui jouent avec des allumettes, raconte un pompier professionnel de Corbeil-Essonnes qui ne compte plus le nombre de fois où il s'est fait "caillasser". Un jour, en période rouge, nous avons été appelés en urgence parce qu'une femme se faisait frapper par son mari en pleine rue. Lorsque nous sommes arrivés, elle était étendue sur le sol, mais on avait pour consigne de ne pas pénétrer dans la cité sans la police. » Les pompiers ont donc stoppé à moins de 200 mètres de la victime et ont attendu de longues minutes que l'escorte soit là. Des conditions d'intervention difficile sur lesquelles les pouvoirs publics n'aiment pas communiquer. En période verte, les pompiers travaillent dans des conditions normales. Ou presque. « On se fait insulter, cracher dessus, on se prend aussi des oeufs, mais c'est tellement banal que l'on n'en parle même plus en débriefing... »
Des violences urbaines qui pourrissent la vie dans les banlieues, mais dont une grande partie s'évapore des statistiques. Et pour cause, le « 4001 », la base de données officielles de la délinquance en France, ne comptabilise que les crimes et délits portés à la connaissance des services de police. Or la plupart des « violences urbaines » ne donnent lieu à aucune poursuite. Non comptabilisés, donc, les feux de poubelles, de boîtes aux lettres ou de caves, les agressions qui se soldent par des interruptions de travail inférieures à huit jours... Autant d'infractions qui font pourtant monter la pression dans des cités « Cocotte-Minute ». En 1998, la commissaire Lucienne Bui-Trong, alors patronne de la section « Villes et banlieues », des Renseignements généraux (RG), avait créé une « échelle de Richter » des violences urbaines, qui classait les quartiers de 1 à 8 selon leur potentiel explosif. Un outil qui avait, l'année suivante, donné naissance au Saivu, le Système d'analyse informatique des violences urbaines. « Tous les mois, il suffisait d'appuyer sur un bouton pour faire sortir dix pages avec les cartes des quartiers les plus chauds », se souvient un policier de la sécurité publique qui exploitait le logiciel. Dès la première année, le Saivu affichait 28 858 violences urbaines contre 3 000 en 1992, et 818 quartiers sensibles au lieu des 106 recensés jusqu'alors. Avec des tendances inquiétantes qui se sont confirmées depuis, telles que le phénomène des bandes violentes, l'économie souterraine, les départs de feu volontaires, les agressions contre tout ce qui symbolise l'autorité. Comme le mercure ne cessait de monter, la Direction générale de la police nationale a décidé de saborder le Saivu, qui a fini par disparaître en 2003. Faute de traitement pour faire baisser la fièvre, on a donc cassé le thermomètre.
Aujourd'hui, quand on demande au ministère de l'Intérieur, comme Le Point l'a fait, le nombre de voitures incendiées, d'Abribus saccagés, de véhicules de pompiers ou de police caillassés, la réponse est on ne peut plus claire : « Nous ne sommes pas en mesure de fournir des données chiffrées »...
Après les émeutes de Clichy-sous-Bois et le meurtre d'Epinay, les témoignages effarants des policiers et des grands frères des banlieues.
Valeurs Actuelles n° 3597 paru le 4 Novembre 2005
L’arrogance des donneurs de leçons
Une poignée de semaines à peine après avoir brocardé l’“Amérique à deux vitesses”, révélée par le cyclone Katrina qui submergeait La Nouvelle-Orléans, les Français sont confrontés à leur propre fracture sociale. La mort de deux adolescents à Clichy-sous-Bois et l’assassinat sauvage d’un père de famille sous les yeux de sa femme et de sa fille à Épinay-sur-Seine suscitent le chagrin et l’horreur et nous appellent à l’humilité. À l’évidence, la France n’a toujours pas réussi à intégrer une partie de sa jeunesse issue de l’immigration et à juguler la violence qui en découle.
Il serait stupide et indécent de stigmatiser un prétendu échec de Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin, parce qu’ils ont tour à tour été ministre de l’Intérieur au cours de ces trois dernières années. Stupide, parce que le problème de l’insécurité dans les banlieues concerne toute la société, pas seulement l’ordre public. Nicolas Sarkozy ne limite d’ailleurs pas ses propositions à des mesures de police. Indécent, parce que cette situation n’est que la conséquence de trente ans de politique de l’autruche pratiquée dans des domaines aussi vitaux que l’immigration, l’urbanisme et l’enseignement. Le film la Haine de Mathieu Kassovitz, qui racontait une émeute de banlieue étrangement semblable aux événements actuels, est sorti en 1995 ! C’est dire que la dégradation de la situation ne peut sans mauvaise foi être imputée au seul gouvernement actuel.
Durant ces trois dernières décennies, la gauche a été aux affaires plus longtemps que la droite et elle a réussi à imposer le politiquement correct qui rend aujourd’hui encore très difficile l’appréhension sereine des problèmes. Ceux-ci n’ont cessé de s’aggraver jusqu’en 2002. Souvenons-nous qu’un 21 avril, il s’est trouvé davantage de Français pour faire confiance à Jean-Marie Le Pen qu’à Lionel Jospin pour traiter la question. Ce simple effort de mémoire devrait conduire les socialistes qui nous inondent de leurs leçons à moins d’arrogance.
Que redécouvrons-nous à la lumière de ces tragédies qui périodiquement mettent nos cités périphériques à feu et à sang ? Que de nombreux jeunes de la deuxième génération de l’immigration n’ont pas trouvé leur juste place dans notre société d’abondance. Le mirage d’une France heureuse et prospère avait pourtant conduit leurs parents à délaisser leur patrie d’origine. Coupés de leurs repères culturels, ils vivent parfois dans des familles éclatées, entassés dans des ghettos gonflés par l’immigration clandestine. Insuffisamment formés par un enseignement dont ils comprennent souvent mal la langue et les références malgré le dévouement remarquable de leurs maîtres, ces jeunes, nés bien après les Trente Glorieuses, n’ont pas pu, pour un grand nombre, être intégrés par le travail. La faiblesse de notre économie, elle aussi largement héritée de trente années de socialisme qui ont cassé les ressorts économiques du pays et dévalorisé la notion de travail, n’a pas permis de leur offrir des emplois en nombre suffisant.
Il y a mieux à faire que de tenter, comme certains, de profiter des désordres actuels pour en tirer un avantage politique. Mieux vaudrait d’abord se débarrasser de ce terrorisme intellectuel qui interdit d’appeler un chat un chat. Pourquoi se permet-on de parler de “patrons voyous” et s’interdirait-on d’employer cette épithète pour qualifier ceux qui cassent, qui brûlent, qui volent et qui tuent ? C’est d’abord en nommant les choses par leur nom que l’on peut analyser les situations avec lucidité et y porter remède. Et non par des confusions de langage qui font que le mot “jeune” finit, à tort, par faire peur à une majorité de Français tant il a été dévoyé.
Pourquoi la police devrait-elle, face à la délinquance qui rend la vie impossible aux habitants des cités, se contenter d’être “de proximité” sans jamais poursuivre et si possible arrêter les fauteurs de troubles ? La proximité c’est bien, mais à quoi bon si ce n’est pas pour intervenir ? Il n’y a pas que la Corse qui ait droit à la continuité territoriale. Les banlieues aussi doivent être placées sous la protection de l’ordre républicain.
L’abandon de ces cités à leur sort sous prétexte d’éviter les “provocations” a créé des zones de non-droit, livrées à des caïds qui les mettent en coupe réglée pour se livrer à leurs trafics. Il faut le reconnaître et prendre les mesures pour y mettre bon ordre comme le veut Nicolas Sarkozy, notamment en s’intéressant au patrimoine des chefs de bande.
Certains évoquent la prévention, évidemment indispensable, qu’ils opposent à la répression, nécessairement horrible. Mais quand le mal est là, il n’est plus temps de prévenir, il faut guérir. C’est un préalable pour briser le cycle de la haine et de la peur.
Pas question pour autant de se borner à des démonstrations de force. Une bonne concertation entre tous les services de l’État, les municipalités et les associations peut nous faire sortir de la spirale de l’échec, comme le montre la baisse spectaculaire de la délinquance à Corbeil-Essonnes et dans sa cité sensible des Tarterêts.
Mais ne nous faisons guère d’illusions. Ce n’est pas en trois ans que l’on peut soigner un mal vieux de trente ans. C’est par une action résolue et continue, étroitement liée à la réforme de l’ensemble du pays, que nous y parviendrons. Pour donner un avenir aux immigrés et à leurs enfants, nous devons être sûrs du nôtre.
Olivier Dassault
Rédigé par : Olivier Dassault | vendredi 04 nov 2005 à 02h33
Franchement chapeau ce blog un peu raciste je trouve . Pour ce qui est de la drogue petit rappel nous en faisions le commerce au debut du siècle dernier . Aussi pour vos merci Chirac j'éspère que vous ne détournez pas trop d'argent dans votre mairie . Et pour les émeutes faut arrêter de mettre le feu et de jouer les pompiers
Rédigé par : max | dimanche 08 mar 2009 à 21h37
"blog un peu raciste je trouve", jolie formule qui ne veut rien dire mais jette la suspicion...
Chacun sait que je ne suis pas raciste.
Je ne sais pas qui vous mettez sous "nous en faisions le commerce[ de la drogue]", mais sincèrement ce qui s'est passé il y a un siècle fait parti de l'histoire et n'a pas valeur de modèle si cela est criminel.
En ma qualité d'adjoint au Maire de Montereau, je peux vous assurer que pas un euro est détourné au sein de la Mairie de Montereau.
Toutes vos critiques sont gratuites et se cacher sous l'anonymat d'un pseudo pour l'écrire ne vous honore pas...
Rédigé par : JMAG | lundi 09 mar 2009 à 01h34
Raciste? il s'est trompé de blog, non?
Vraiment,On ne peut que féliciter jmag de cet espace de liberté.
Quant au détournement d'argent, c'est un argument affligeant de médiocrité.
Rédigé par : joigny | lundi 09 mar 2009 à 19h48