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Les tarifs des services municipaux énoncés ci-après seront identiques à ceux appliqués en 2006/2007, à savoir :
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L'ANPE vient de publier ses chiffres clés 2006.
Entre 2005 et 2006, davantage de services ont été proposés et notamment :
- 10.000 entretiens par heure entre un demandeur d'emploi et un conseiller anpe;
- plus de 2,8 millions de prestations pour les demandeurs d'emploi (+1,8%)
- Plus de 12,8 % de demandeurs d'emploi évalués;
- 885.700 accompagnements (+6%) dont 153.000 bilans de compétences approfondies (+1,5%);
- plus de 1,5 millions de participations à un atelier.
220.000 personnes retrouvent chaque mois, un emploi grâce à l'anpe.
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Après la messe retransmise par mon émission hebdomadaire le Jour du Seigneur et avant la nouvelle émission de france 2 "France 2 foot", la ligue de footbal professionel diffuse un clip que l'on peut retrouver sur son site http://www.lfp.fr/indexSite.asp .
Un passage de cette bande-annonce m'a fait sourire et me pose plusieurs questions...
A première vue les publicitaires n'ont pas lésiné dans le second degré et notamment dans cette scène où l'on y voit deux joueurs dans le vestiaire, un grand tout en muscle qui cache sa nudité par une serviette et un autre en train de se déhabiller qui se retourne vers lui et lui dit ceci : "ça fait longtemps que tu ne m'as pas fait une belle passe en profondeur" ...
Quel est donc le message envoyé par la Ligue ?
Qu'il ne se passe rien (de sexuel) entre les joueurs dans les vestiaires ? que le foot n'est pas un sport de .. comme diraient certains ? Ou est-ce justement un clin d'oeil pour concurencer le rugby, ses joueurs et le dorénavant très célèbre calendrier ? Pour attirer de nouveaux spectateurs en affirmant que le foot n'est pas réservé aux familles ou aux machos homophobes... On peut même se demander si il n'y a pas une volonté de sourire sur certaines réputations en évoquant "passe en profondeur"...
Je vous laisse seul juge en regardant le clip... Je trouve cela fort étonnant et assez amusant.
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out n'est heureusement pas attaqué dans mon jardin !
Comme le montrents les photos les concompbres et poivrons sont au rendez-vous !
De même que les plants de tomates cerise, certes un peu attaqués par le mildiou, mais qui donnent de très bonnes tomates !
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Il y a 15 jours, un voisin jardinier m'a conseillé de traiter rapidement mes plants de tomates et le temps m'a manqué...
Triste conclusion, mes cultures ont été attaqués par le MILDIOU.
L'urbain que je suis ne connaissait même pas encore ce mot il y a quelques jours, honte à moi...
Le mildiou attaque les tomates et les pommes de terre et fut à l'origine d'importantes famines au 19ème siècle. Il se développe particulièrement vite quand la météo nous apporte pluie et humidité...
J'ai donc commencé hier le plan d'attaque : suppression et destruction des plants trop malades et traitement avec la bouillie bordelaise de ce qui ont l'air sauf...
Voici quelques photos des dégâts :
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Si un internaute peut m'aider ....
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J'ai retrouvé dans les archives de la publication d' Entre nous une tribune que j'avais écrite en juillet 1998 (numéro 57) concernant (déjà) les affaires de dopage sur le Tour de France.
Je reproduis le texte dans son intégralité et reviendrais tout à l'heure sur mon sentiment actuel.
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Les passionnés du Tour de France n’ont pas été gâtés.
Après la fabuleuse réussite de l’équipe de France au Mondial, les journalistes, les ministres et la justice avaient besoin d’un bon coup médiatique pour l’été (montrer que l’on existe et que l’on maîtrise les événements).
Le Tour de France est donc devenu le feuilleton de l’été; pas celui qui brille de ses résultats quotidiens et de ses rebondissements sportifs mais plutôt celui .qui se lit dans les pages des faits divers.
Certes, le dopage des cyclistes n’est pas chose nouvelle et le monde sportif, notamment sous l’ère soviétique et la guerre froide et maintenant avec les contraintes économiques imposées par les sponsors, a été particulièrement touché par l’usage de substances plus ou moins efficaces mais généralement dangereuses à terme.
Comme le rappelait Jacques Chirac, le dopage, c’est une forme de tricherie. Cependant, le dopage dans notre société quotidienne est un phénomène généralisé voire encouragé.
Il faut donc que l’hypocrisie s’arrête et qu’à l’aube d’un nouveau siècle de nombreuses valeurs reprennent force de vie et de modèle.
Ce qui est étonnant dans l’affaire du Tour de France, c’est de voir la rapidité avec laquelle la justice et le gouvernement agissent pour mener leur lutte. Il est vrai que les délinquants n’ont ni arme, ni pit-bull et qu’on les trouve facilement à leur domicile ou dans leur chambre d’hôtel. Mais le plus surprenant c’est de constater que c’est le parquet de Lille qui mène les investigations, c’est-à-dire celui qui laisse en liberté tous les trafiquants de drogue de la région à défaut, dit- il, d’assez de places dans les prisons?
Surprenant aussi que ce soit le gouvernement Jospin, comprenant plusieurs toxicomanes, qui lutte avec autant de zèle quand, dans le même temps, il conduit l’opinion publique vers une dépénalisation de la drogue et de ses trafiquants ?!?
Chaque jour des milliers de français se dopent. Pour leur travail, pour leurs études et les examens qui les sanctionnent, pour les efforts qu’ils fournissent dans leurs loisirs et maintenant pour leurs performances sexuelles, nombreux usent et abusent de café, de vitamines, d’auto-médicamentation souvent hasardeuse, d’anti-douleurs, de barres énergétiques, de médicaments...
C’est notre société -nous en somme- qui a érigé en principe d’être toujours performant, toujours opérant, toujours efficace.
Pourtant, nous ne sommes que des hommes, avec nos défauts et nos faiblesses.
Il est prouvé scientifiquement qu’aujourd’hui un travailleur fournit plus de labeur qu’au début du siècle et bien que le temps de travail diminue sans cesse et que les travaux de force dorénavant soient quasi inexistants!
Dans le sport, il va de soi que les résultats sportifs ne peuvent faire autrement que de stagner et que l’amélioration du matériel utilisé par les sportifs a aussi ses propres limites.
Quand des coureurs cyclistes exécutent chaque jour pendant trois semaines consécutives des performances (certains font des pointes de plus de 40 km/h !), que personne ne s’étonne de l’usage de substance : cela est une évidence. A ce niveau, et avec la présence de médecins d’équipe, on peut même se demander si il ne s’agit pas de recherches médicales illégales.
Comme d’habitude, une table ronde a été organisée et des bonnes intentions seront édictées mais après...
Dans une société où la compétition et la réussite font loi et pression tant dans le domaine sportif que professionnel voire familial (avec l’insistance dangereuse de certains parents a voir leur enfant comme des génies), cette table ronde n’aurait pas dû être limitée aux seules compétitions cyclistes mais au contraire ouverte au peuple tout entier.
Jean-Marie Albouy - juillet 1998
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RETOUR AUX SOURCES. Le travail d'un député se fait aussi en circonscription. Entre deux réunions de travail à Coulommiers sur des questions locales, Franck Riester doit aussi trouver le temps de s'occuper de sa concession automobile.
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L'ancien Premier ministre a nié avoir participé à une "quelconque manoeuvre politique", annonçant qu'il faisait appel de son contrôle judiciaire qui lui impose notamment une caution de 200.000 euros, un montant élevé jugé, selon un avocat du dossier, "vexatoire" et révélateur d'un "bras de fer" avec les magistrats.
M. de Villepin, de retour de vacances en Polynésie française, est resté moins d'une heure au pôle financier, refusant de répondre aux questions de Jean-Marie d'Huy et Henri Pons dans l'attente de "prendre connaissance du dossier". Ceux-ci l'ont mis en examen pour "complicité de dénonciation calomnieuse, recel de vol et d'abus de confiance et complicité d'usage de faux". Ils l'ont placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction de rencontrer Jacques Chirac, ainsi que les principales personnes mises en cause. M. de Villepin est toutefois autorisé à se déplacer librement.
A sa sortie, M. de Villepin a affirmé qu'"à aucun moment", il "n'avait demandé d'enquête sur des personnalités politiques" ni "participé à une quelconque manoeuvre", ayant agi "pour faire face à des menaces internationales" et de nature "économique". "C'est strictement dans ce cadre que j'ai agi, c'était mon devoir comme ministre", a-t-il dit, ajoutant: "Je ne vous cache pas que ces mises en cause sont douloureuses pour moi et pour ma famille mais je me battrai pour que (...) la vérité puisse enfin apparaître".
Il est soupçonné d'avoir participé à une conspiration visant à déstabiliser l'actuel chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy, partie civile dans ce dossier. Le nom de M. Sarkozy, alors ministre de l'Economie, est mentionné dans des listings de l'organisme financier Clearstream. Un "corbeau" les avait envoyés au juge Renaud van Ruymbeke en 2004, accompagnés de lettres. De nombreuses personnalités y étaient accusées d'avoir perçu des pots-de-vin sur la vente de frégates à Taïwan en 1991. Le magistrat a démontré que ces documents avaient été trafiqués.
La publication en mai 2006 de premières notes du général Philippe Rondot, témoin capital qui a tout consigné dans des fiches personnelles, suggérait déjà une implication de Dominique de Villepin mais aussi de Jacques Chirac: "Si nous apparaissons, le PR (président) et moi, nous sautons", aurait dit M. de Villepin au militaire.
En visite à Libreville, le président Sarkozy n'a fait aucun commentaire, tout comme François Fillon, en déplacement à Madrid.
La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, également mise en cause, a souhaité "que la justice puisse le plus rapidement possible donner le fin mot" de l'affaire. Le député villepiniste Jean-Pierre Grand a estimé pour sa part qu'il y avait là "tous les ingrédients d'une nouvelle affaire Dreyfus".
Le premier secrétaire du PS, François Hollande, a jugé que M. de Villepin devait bénéficier de "la présomption d'innocence".
Dominique de Villepin avait déjà été entendu 17 heures en décembre 2006. Il avait alors écarté toute responsabilité. Mais la révélation fin juin de notes informatiques inédites du général Rondot, qui pensait les avoir effacées, a relancé l'affaire.
Jean-Louis Gergorin - ex-vice-président d'EADS et ami de M. de Villepin - qui avait reconnu en mai 2006 être l'expéditeur des courriers anonymes, a affirmé aux juges la semaine dernière que c'est bien à la demande de celui-ci qu'il avait décidé de "saisir" un juge, et ce sur "instruction" de Jacques Chirac. L'interdiction faite à M. de Villepin de le rencontrer, souligne son implication potentielle dans le dossier même si l'ancien chef de l'Etat a déjà fait savoir qu'il ne pourrait répondre à une convocation des juges, arguant de l'immunité liée à sa fonction présidentielle.
M. Gergorin a cependant certifié que M. de Villepin avait cru, comme lui-même, à l'authenticité des listings.
La position de M. de Villepin qui dit avoir agi en tant que ministre est d'importance car seule la Cour de justice de la République (CJR) peut juger les anciens ministres pour des faits commis dans le cadre de leurs fonctions.
Article de Stéphane de Sakutin AFP 2007 AFP
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LE BANC DU FOND. Sur les bancs de l'Assemblée, Franck Riester, va, avec les autres parlementaires, examiner durant trois jours le "paquet fiscal". L'occasion de découvrir les traditionnels chahuts et autres manifestations d'humeur des députés.
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C'est avec tristesse que j'étais présent au pôt de départ de m collègue ce midi.
Pour son premier poste, elle a su montrer toutes ses qualités dans son activité et sera regrettée tant par les chercheurs d'emploi, les employeurs que les collègues.
Nouvelle agence et nouvelle vie, je lui soutaite tous mes voeux de bonheur et de réussite et la remercie pour son amicale gentilesse.
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Nous étions nombreux hier soir au Ciné Montereau Point Com pour venir découvrir les aventures cinématographiques des Simpson.
J'ai (beaucoup) ri du début jusqu'à la fin.
Des gags et des clins d'oeil mais aussi de l'émotion, Matt Groening nous offre un savoureux cocktail qui a ravi toute la salle.
Un film pour se détendre...
Et en attendant pour se divertir, le site où vous pouvez créer votre propre avatar !! : http://www.simpsonsmovie.com/main.html?cid=fr
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UN REVE D'ENFANT. Moment d'émotion pour Franck Riester, le jeune député que lefigaro.fr suit tout l'été : aujourd'hui, en tant que benjamin du groupe UMP, il va participer à l'élection du nouveau président de l'Assemblée.
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Tout l'été, lefigaro.fr vous propose de suivre les premiers pas de Franck Riester, un jeune député de 33 ans, élu pour la première fois à l'Assemblée nationale. Dans ce premier épisode, il vient pour un premier contact avec le Palais Bourbon.
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Rien d'étonnant que certains se soient gaussés sur les péripéties judiciaires des deux frères de la Garde des Sceaux Mme Dati, on s'amuse comme on peut...¨
Pour autant je ne vois pas en quoi les actes des deux frères de Mme Dati doivent être plus mis en éclairage par la presse. Chaque jour bien d'autres quidams se livrent au même trafic et ne suscitent pas autant de couverture médiatique.
Ce n'est pas la famille de mme Dati qui est Ministre de la Justice mais Mme Rachida Dati.
Dans une famille, nombreuse d'autant plus, il est rare que tous les enfants soient identiques dans leurs pensées, leurs ambitions, leurs actes et leurs fréquentations.
Même lorsque les parents ont appliqué le même modèle d'éducation, la sensibilité de chacun, l'environnement familial et socio-économique évoluant sans cesse, il est difficile de "mettre tout le monde dans le même sac".
Je trouve inadmissible qu'on puisse penser ou laisser penser qu'il y ait similitude comportemental entre tous les membres du même fratrie et comme l'ont dit justement ses frères, "nous c'est nous, elle, c'est elle"... Mme Dati n'est en rien solidaire aux actes de ses frères et je trouve saugrenu là encore qu'on puisse laisser penser par certains commentaires journalistiques que la justice s'appliquera normalement...
Il n'y rien de minorant mais non plus d'aggravant au fait que sa soeur soit Ministre de la justice...
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Nous étions nombreux à l'attendre...
Les Simpson sont enfin au cinéma !
Avant d'aller voir "ratatouille" la semaine prochaine, je vais découvrir les aventures cinématographiques de la famille Simpson.
Il paraîtrait même qu'on y voit Bart nu ce qui a valu au film une interdiction aux moins de 13 ans aux États-Unis !
Plus d'infos sur le film et son réalisateur :
http://www.evene.fr/cinema/actualite/simpson-film-interview-matt-groening-homer-898.php
Des infos sur les cinémas de Montereau :
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C'est avec beaucoup de tristesse que je viens d'apprendre la disparition de mon ami et sociétaire d'Entre nous ... Gérard Vrain.
Le 1 mars 1997, je lui avais remis le diplôme du militantisme pour son engagement et sa fidélité à ses idées et ses valeurs gaullistes et humanistes.
J'adresse à toute sa famille et notamment à son épouse toutes mes sincères condoléances.
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Les 15 jeunes monterelais partis en colonie de vancances à Bourg Argental (massif central - à 20 km de St Etienne)) sont en pleine forme !
L'air vivifiant, les activités variées, l'équipe d'animation et de direction plein d'enthousiasme, une cuisine excellente, un chauffeur de car impliqué au quotidien de la colo, tels sont les ingrédients de cette colo réussie qui m'a permis de rencontrer des jeunes épanouis.
Pour en témoigner, Plusieurs vidéos et un album photo pour le pmoment situé dans la colonne de gauche tout en haut.
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Un concours est organisé pour motiver les enfants à ranger leurs chambres. La semaine dernière, les 3 premières chambres avaient eu des récompenses. Cette fois-ci seules les 2 premières ont été récompensées. Les enfants de la 3ème contestent avec beaucoup de vigueur et une certaine bonne humeur... On parle même de "discrimination" et de "sexualisme"...
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Pour motiver les enfants à ranger leurs chambres, tous les jours sur la porte de chacune d'elles un soleil, un nuage ou un orage figure et donne la météo du rangement. Une fois par semaine, des récompenses sont offertes aux enfants des chambres affichant la météo la plus ensoleillée.
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Les enfants avaient été invités à retourner dans leurs chambres après le repas pour clôturer une journée très fatiguante où une importante kermesse avait été organisée. Puis, ils ont été convoqués pour une "remise à l'heure des pendules" d'où le ton un peu ferme du directeur à l'appel des noms de ceux qui devaient se faire disputer. Mais les enfants n'ont pas été dupes et ils ont "cramé" (c'est leur expression dans le film)les animateurs en comprenant la supercherie : il s'agissait de fêter les anniversaires !!! ;-)
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Motivation des 15 jeunes monterelais avant les photos de groupe.
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Je rentrais cet après-midi de Bourg-Argental lorsque j'ai assisté à un accident.
Une mauvaise manoeuvre de l'automobiliste hollandais pressé de rentrer chez lui et la caravane qu'il tirait s'est retournée comme une crêpe.
Faut-il rappeler que la conduite nécessite de l'automobiliste attention, vigilance, prudence et anticipation ?
Ici, heureusement, que des dégâts matériels mais parfois une seconde suffit pour causer un drame.
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C'est au Surcouf, restaurant situé près de la poste et ayant une terrasse dosur l'une des berges de la Seine, que le SITCOME a organisé son point presse présentant les 3 nouveaux sets de table SIYONNE.
Mme Pitou de Rosario et mme Kriz du Bar de la Baignade étaient présentes aux côté du jeune et sympathique propriétaire du Surcouf (1er à gauche sur la photo).
René Lefier, directeur du Sitcome, Jean-michel Marchon responsable des opérateurs SIYONNE, Alain demelun et Michel Dalibon, élus du SITCOME, étaient à mes côtés.
Particularité des sets de table 2007, ils ont tous des jeux au verso !
30.000 exemplaires seront distribués et permettront ainsi de participer à la promotion des transports publics et des vélos SIYONNE.
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Conformément à l'idée que je me fais des exigences qui s'imposent à un responsable politique, j'ai, dès la fin du second mandat que m'ont confié les Français, fait savoir au magistrat chargé du dossier relatif au financement du Rassemblement pour la République que j'étais à sa disposition pour répondre aux questions qu'il voudrait me poser. Rendez-vous est pris à cet effet. Je ne vois rien là que de très normal et de conforme à la conception qui a toujours été la mienne des principes républicains. C'est elle aussi qui me conduit à m'exprimer ici, afin d'éclairer, pour les Français également, la question du financement de la vie politique, devenue avec le temps de plus en plus incompréhensible, notamment pour les plus jeunes de nos concitoyens.
La durée et la diversité des responsabilités politiques que j'ai exercées m'autorisent à procéder à ce rappel.
Au tournant des années 1970, avant l'explosion des besoins de communication des formations politiques et par voie de conséquence des nécessités de leur financement, aucune disposition juridique n'encadrait ce sujet. C'était le temps où le droit était beaucoup moins présent qu'aujourd'hui. Des organisations aussi différentes que les partis politiques, les associations, les syndicats ou les cabinets ministériels fonctionnaient largement sur la base d'usages apparus au fil du temps. S'agissant des formations politiques, au-delà des contributions des adhérents, par essence limitées, il était fait appel à la générosité des uns et des autres. Des particuliers, militants ou non, des entreprises, voire des budgets publics, contribuaient ainsi au financement des formations politiques, à la prise en charge de leurs coûts ou au financement proprement dit des campagnes par le biais de financements directs, de prise en charge de frais, de mise à disposition de personnel ou de rémunération de permanents.
Cet état de fait, connu de beaucoup, était au fond accepté parce que les partis, qui jusqu'en 1988 n'avaient pas de statut, concouraient conformément à l'article 4 de la Constitution à l'expression du suffrage et assumaient à ce titre une mission d'intérêt général sans laquelle la démocratie n'aurait pu fonctionner.
La première élection du président de la République au suffrage universel en 1965 et l'apparition de deux scrutins majeurs – les européennes et les régionales – conduisaient inéluctablement à un changement. Le bouleversement a été rendu plus irrésistible encore du fait de l'explosion des dépenses de communication et de publicité liée au développement des médias. S'ils voulaient continuer à être entendus et à jouer leur rôle dans le débat démocratique, tous les partis étaient obligés de suivre, et donc de mobiliser des moyens financiers sans commune mesure avec ce qu'on avait jusqu'alors connu. Les juges, enfin, ont secoué le système en mettant au jour des pratiques occultes auxquelles nul ne s'était vraiment intéressé avant eux.
Parce que les esprits avaient évolué et que les sommes en jeu n'étaient plus les mêmes, un changement en profondeur des conditions de financement des formations politiques s'imposait.
Il a fallu passer, en quelques années, d'un monde d'usages et d'arrangements à un régime clairement fixé par la loi.
En France, mais aussi aux Etats-Unis, en Allemagne, au Royaume-Uni, les partis ont dû s'adapter à cette nouvelle réalité. Toutes les grandes démocraties ont connu une période difficile de passage d'une zone de non-droit ou d'usages devenus obsolètes à la fixation par la loi de principes clairs et adaptés aux besoins de financement des partis politiques. Il n'est pas rare qu'on ait dû s'y reprendre à plusieurs fois pour parvenir à une situation satisfaisante.
En France, où nous sommes aujourd'hui à la pointe de la rigueur et de la modernité, il ne nous a fallu pas moins de trois lois entre 1988 et 1995 : deux proposées par la droite et une par la gauche, mais toujours votées par une large majorité de parlementaires. Avec le président Mitterrand, nous avons fait adopter, le premier texte, la loi de 1988. Elle concernait le financement des campagnes électorales. C'est la loi de 1990 qui a traité du financement des partis par les entreprises. Mais ce n'est qu'en 1995 que nous sommes parvenus, au terme de ce processus, à ce qui me paraît être la meilleure solution : l'interdiction de tout financement par des entreprises. Nous avons mis en place un financement public, équitable et transparent, des partis politiques et des campagnes électorales.
C'est à cette période antérieure à la loi de janvier 1995, marquée par l'explosion des besoins et par l'inadaptation de règles parcellaires, que remontent ce que l'on a appelé les affaires de financement des partis politiques. Elles ont concerné toutes les formations, de gauche comme de droite.
Dans un esprit de clarté et de responsabilité, je compte rappeler précisément aux magistrats ce contexte sans lequel on ne peut pas comprendre. En ma qualité de président du Rassemblement pour la République, j'ai souhaité, dès 1984, la création de la société de développement et de publicité dont l'objet était de garantir la transparence du financement du mouvement. Et, j'ai voulu, d'une manière générale, que soient abandonnés les usages anciens. C'est ce que je compte aussi expliquer aux juges.
Je le ferai porté par une conviction que je veux faire partager aux Français : les responsables politiques de l'époque ont agi avec probité et dans le souci de l'intérêt général. Un effort pour se replacer à cette époque permet de mesurer à quel point leur tâche a été lourde. Sept ans de tâtonnements se sont avérés nécessaires pour parvenir au bon régime juridique et, dans le même temps, il a fallu passer au plus vite de pratiques héritées d'un passé parfois lointain et devenues inacceptables à des règles claires et transparentes, fixées par la loi.
Au-delà des présentations caricaturales, il y a une réalité : que ce soit à gauche comme à droite, ces dossiers n'ont que très exceptionnellement porté sur des cas d'enrichissement personnel – d'ailleurs sanctionné, parfois lourdement – et les lois mises en place dans cette période assurent aujourd'hui un cadre démocratique exemplaire.
De tout cela, je suis prêt à témoigner et à répondre, témoigner devant l'opinion, répondre devant les juges. Dans les deux cas, je le ferai en conscience.
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Tous les jours des monterelais de tous âges et de toutes conditions sociales se donnent rendez-vous à Surville ou en ville basse pour emprunter les cars qui les emmèneront à la mer.
Pour de très nombreux participants et notamment les plus jeunes, c'est très souvent la première fois qu'ils se rendent à la mer.
Cette découverte et la possibilité d'aller se jeter dans l'eau qu'elle que soit sa température.
Les inscriptions continuent tout l'été auprès de l'animateur présent dans la cabane du pécheur située dans la cour d'honneur de l'Hôtel de ville.
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C'est avec émotion que j'assistais à la cérémonie organisée par le conseil municipal afin d'honorer la brillante carrière de Mme l'inspectrice Simone De Henau.
Vous retrouverez dans le blog de la ville une note sur ce point : http://montereau.typepad.fr/montereau/2007/07/au-revoir-simon.html .
Après les interventions de Monsieur Yves Jégo, député-maire, madame De Henau et de monsieur l'Inspecteur Départemental, j'ai eu le plaisir de dire quelques mots tout en offrant un trophée SIYONNE et un bouquet de fleurs pour la remercier de l'aide qu'elle nous a apportée dans la mise en place d'actions en faveur des transports auprès des élèves des écoles primaires ou élémentaires.
J'ai rencontré pour la première fois Simone lorsque j'étais l'adjoint au Maire chargé de la vie scolaire en 2001 avant que je transfère cette responsabilité à mon collègue Lionel vallée devenu quelques mois après adjoint au Maire.
Nous nous rencontrions régulièrement depuis, soit dans les conseils de la caisse des écoles, soit dans les présentations des actions municipales au sein des écoles, soit dans les rues de Montereau soit aussi dans les visites des classes de neige où nous avons appris à mieux nous connaître.
C'est avec beaucoup de peine que je vois partir mme De Henau tant elle avait foi en son métier, en l'éducation nationale et en ses collègues.
Mme de Henau fait pour moi partie de l'élite de la France, agent d'Etat dévoué au service public et à l'école publique laïque et gratuite, soucieuse de l'intérêt de l'enfant avant celui des revendications des adultes.
Merci pour tout.
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2ème partie avec le final !
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Christine Lagarde, ministre de l’économie, des finances et de l’emploi, a reçu cette semaine la lettre de mission que lui a adressée Nicolas Sarkozy. Cet ordre de mission, qualifié d’« ambitieux » par Les Echos, de « chargé » par La Tribune, reprend les principaux engagements présidentiels : en premier lieu le plein emploi avant 2012 ainsi que l’augmentation du pouvoir d’achat, deux objectifs qui forment « le cœur du projet présidentiel ».
La ministre est notamment appelée à « libérer le travail et supprimer les mécanismes qui le découragent ».
Sur le front de l’emploi, Mme Lagarde devra ainsi « sans tarder » mettre en place un « service public de l’emploi » issu de la fusion de l’ANPE et de l’Unedic, supprimer « progressivement » la dispense de recherche d’emploi pour les chômeurs les plus âgés et autoriser le travail le dimanche « pour les salariés volontaires ».
La ministre a également été chargée de mettre en œuvre, dès cet été, un plan en faveur des jeunes sans qualification issus des quartiers « sensibles ».
Le président de la République attend par ailleurs de l’ANPE et de l’Afpa une meilleure implantation de leurs agences sur l’ensemble de ces territoires, afin que chaque jeune se voie proposer un emploi ou une formation qualifiante.
Dans le cadre d’une loi de modernisation de l’économie prévue pour fin 2007, Mme Lagarde est tenue de faire émerger 2.000 PME de 500 salariés qui créeraient notamment « le point de croissance qui manque à la France ».
Mme Lagarde doit également mener une baisse des impôts « aussi rapide que possible » et remettre à plat l’ensemble du système fiscal, pour le rendre notamment « plus incitatif » pour les entreprises. (La Tribune, Le Figaro Economie, Les Echos du 12/07 ; Le Monde, La Croix du 13/07)
Lu sur alice.anpe.fr
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Dans le cadre de l'opération "une journée à la mer pour un euro", partie de volley ball avec des jeunes de la MASC
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Telle fut la volonté de Monsieur le député-Maire Yves Jégo pour rendre accessible à tous une journée de dépaysement au bord de la mer.
Normandie et Picardie sont les lieux de destination de ces journées.
Hier j'accompagnais les jeunes du MASC au Touquet où nous avons pu bénéficier d'un temps clément de notre arrivée jusqu'à 15h30.
Pique-nique (compris), crème solaire (fourni), partie de volley pour les uns et de foot pour les autres avant d'aller affronter la tiédeur de la Manche.
Tous étaient enthousiastes et heureux de cette journée comme le montrent les photos dans mon nouvel album "la mer 1 euro" que vous trouverez dans la colonne de gauche.
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Cet été, la mairie de Montereau organise plusieurs dizaines de journées à la mer pour seulement 1 euro.
Sont compris le trajet, le déjeuner, la casquette, le sac et un t-shirt.
Aujourd'hui j'accompagne un groupe d'adolescents qui, pour certains,découvrent pour la première fois la mer.
Face à la mer, sur la plage du Touquet, notre arrivèe.
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Spectacle qui a lieu tous les jours au Walt Disney Studio
Pour beaucoup d'entre nous, c'est déjà les vacances.
En ce dimanche ensolleillé, le premier depuis un mois, je vous propose une petite vidéo rafraîchissante sur un des nnouveaux spectacles Disney.
Belle performances des artistes sportifs et des chanteurs.
Ce spectacle a lieu 5 fois par jour.
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C'est avec plaisir que je me suis rendu hier soir au garage Peugeot Fontainebleau afin d'y découvrir le tout nouveau SUV français : le 4007.
Comme d'habitude Peugeot a fait fort. Ce 4X4 est richement doté (surprenant les 2 places supplémentaires qui sortent comme par magie de leur rangement) en équipement intérieur tout en donnant aux 4X4 traditionnels un petit coup de vieux gràce à sa "bouille" généreuse et souriante.
Utilise-t-on ce type de 4X4 dans les chemins tout terrain au risque de rayer la magnifique peinture ?
Pour le plaisir des yeux, l'équipe avait aussi agrémenté le hall des ventes de vieux modèles de la marque.
Parmi les nombreux invités, j'ai pu y rencontrer monsieur le maire d'Avon Jean-Pierre Le Poulain (où se situe physiquement le garage) et échanger avec de nombreux invités et Arnault ESTANOVE, Responsable commercial (photo).
Pour plus de renseignements :
Arnault ESTANOVE
Responsable commercial
Peugeot SVICA Avon
01 60 39 66 46 / 06 21 08 13 35
[email protected]
www.avon.font.peugeot.fr
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Après avoir vu passer chez Interval 6 directeurs ou responsables d'exploitation lors de mon précédent mandat, j'ai manifesté mon couroux auprès du Président de Transdev, Philippe Segretain, en 2001 et ai exigé d'avoir un directeur qui puisse être assuré pour la réalisation de nos projets en commun d'une stabilité et d'un suivi dans la durée.
Merci à lui d'avoir satisfait ma demande et de m'avoir envoyé François Pitou qui, après Orléans, travaillait déjà pour Transdev Paris est au sein du réseau chellois.
Depuis son arrivée, nous avons pu mener et concrétiser de nombreux projets du SITCOME et nous avons toujours une écoute attentive et intelligente de nos remarques, suggestions ou exigeances.
Toujours jovial, François Pitou aura participé grandement au redressement économique de l'entreprise.
Si nos relations professionnelles peuvent parfois devenir conflictuelles, la cordialité s'est peu à peu transformée en amitié qui permet ainsi, après de rudes échanges et d'éprouvantes négociations (enfin éprouvantes pour transdev plus que pour moi ;-) ), de retrouver une cordialité et un humour de bon aloi.
Pour services rendus à SIYONNE, j'ai remis à Franois Pitou au nom du SITCOME un trophée SIYONNE.
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