DSK n'a plus que la crise économique à gérer puisque depuis quelques jours il est pris dans une tourmente toute personnelle.
Depuis quelques jours un mari trompé a mis en lumière lé départ du FMI de son épouse qui aurait eu connu une relation extra-conjugale avec DSK.
Du coup on soupçonne DSK d'avoir peut-être versé à cette femme une prime de départ plus élevée qu'habituelle et, dans le même état d'esprit, d'avoir peut-être incité cette femme à quitter le FMI plus ou moins avec son plein gré...
Du coup, beaucoup en France y va de son couplet sur le besoin de séduire de DSK et la vie sexuelle des politiques qu'on imagine toujours plus riche que les autres.
Même si les anglo-saxons se choquent sur des sujets que nous, latins, nous font sourire, on peut se demander pourquoi c'est en pleine crise financière et au moment où le FMI doit jouer un rôle essentiel pour passer la tempète que cette affaire est médiatisé.
Les hommes et femmes politiques sont avant tout des hommes et des femmes, avec les mêmes envies, les mêmes désirs, les mêmes pulsions que tout le reste de la population. Anne Sinclair-SK, comme l'avait fait Hillary Clinton ou Bernadette Chirac, a rappelé hier l'amour qui liait le couple au delà d'un furtive aventure non-sentimentale.
Si après enquête on s'aperçoit que cette femme a perçu une prime plus élevée que la normale pour son départ et que DSK lui a donc fait un cadeau sur le compte du FMI, il conviendra de sanctionner DSK en lui demandant par exemple de rembourser avec son argent le FMI du delta mais une affaire somme toute banale entre deux adultes consentants ne doit pas conduire à la démission de DSK qui doit être jugé que sur ses compétences professionnelles à exercer la mission confiée.
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