Je l'ai dénoncé dimanche dernier dans mon discours, mais effectivement , ce que nous pouvions redouter est arrivé : oucieux d'évaluer la situation, de "montrer le vrai visage de la France", le nouveau commissaire à la diversité et à l'égalité des chances, Yazid a exhumé un débat que l'on croyait apaisé, sinon totalement éteint depuis l'interdiction des statistiques ethniques par le Conseil constitutionnel, en novembre 2007.
Personnellement je suis TOTALEMENT opposé à toutes statistiques ou sondages qui recenseraient les français en fonction de leurs communauté d'origine, supposée ou déclarée.
Sans bac, et à force de travail, j'ai réussi en entrer puis à évoluer au sein d'une administration grâce à des concours où chacun est égal. Il serait tout de même incroyable que des personnes méritantes puissent se voir recalées au nom d'une politique de quotas qui favoriserait l'origine plutôt que le travail.
Comme je l'ai déjà écrit ici, tous mes camarades de promotion du lycée ont réussi leurs vies professionnelles et ce, quelque soit le prénom qu'ils portaient, l'adresse où ils habitaient ou l'origine de leurs parents. Mes camarades qui ont effectué toute leur scolarité sur le plateau de surville ont tous des emplois d'encadrement après de belles études universitaires réusies !
Personne ne leur a offert leur diplôme ! Ils ne sont passés devant personne parce que leurs parents étaient nés en Algérie, au Maroc, en Tunisie ou en Turquie. Ils ont travaillé, point !
Commentaires