A la veille de la publication de ses mémoires, l'ex-président de la République conteste ainsi «l'analyse» de la juge Simeoni, en charge de l'instruction sur l'affaire des emplois présumés fictifs de la Mairie de Paris.
Il indique qu'il «ira lui-même s'expliquer devant le tribunal avec calme et sérénité» et qu'il ne souhaite pas que le parquet «fasse appel» de son renvoi en justice. Cela tombe bien, car selon une source judiciaire, le parquet de Paris a décidé de ne pas faire pas appel.
Jacques Chirac ajoute: «La seule chose qui compte c'est la justice. Je ne demande ni clémence, ni indulgence qui serait tout à fait hors de question et de propos s'agissant de la justice de mon pays.»
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