(extrait de mon intervention à la réunion publique cantonale du 16 mars 2011)
Avant de commencer dans le vif du sujet, je souhaite aborder un point que je trouve secondaire compte tenu des enjeux pour notre canton mais qui aura le mérité de la clarté.
Certains ont laissé croire que j’avais honte de mon appartenance politique, moi et d’autres candidats en France.
Mon premier acte militant politique, je l’ai eu il y a 27 ans.
De mes 27 ans d’engagements politiques et militants, je ne renie rien.
27 ans où je n’ai jamais cessé de militer, de participer à toutes les campagnes et à prendre des responsabilités dans les partis politiques, au RPR d’abord, à l’UMP et au Parti radical ensuite
Cet engagement je l’ai nourri de mes racines gaullistes.
Gaullisme que je porte toujours dans mon cœur et que je porte depuis 1992 à Montereau à travers l’amicale des gaullistes de Montereau que j’ai créé, que je préside, et qui organise seule, ou en partenariat avec la mairie de nombreuses commémorations.
Cet engagement je l’ai mis au service de mes idées, de mes valeurs, celles qui doivent nous faire vivre dans une société de liberté, de solidarité, de responsabilité, je l’ai mis aussi au service de celui qui les portait, d’après moi, le mieux au niveau national, l’ancien Président de la république, Jacques Chirac. Tous ceux qui me connaissent, vont sur mon blog ou dans mon bureau le savent : j’ai été, je suis et je serai Chiraquien. C’est incontestable.
En 2002, à sa demande, s’est constitué l’UMP, j’y ai pris toute ma part, comme des dizaines de milliers de français qui en s’investissant dans un parti politique œuvrent au bon fonctionnement démocratique de notre pays.
Je n’ai pas honte d’être soutenu par l’UMP et chacun peut constater que le logo apparaît sur mes affiches et sur ma profession de foi.
Mais dimanche prochain ce n’est pas l’UMP qui se présente, c’est Jean-Marie Albouy et Titaïna Pietrobon.
Que ceux qui se torturaient l’esprit se rassurent, si vous me faites confiance dimanche prochain, il va de soi que je saurai où me situer au sein de l’Assemblée départementale, j’y serai pour l’intérêt général au service des intérêts des habitants du canton de Montereau.
Je reproche trop au Parti socialiste qui gère le Département leur sectarisme et leur esprit partisan pour tenter de les imiter.
Cette parenthèse peut-être fermée.
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