François D'Orcival nous habitue toutes les semaines à des éditos de Valeurs actuelles clairs et précis.
Cette semaine il revient sur les premiers mois de François Hollande :
" Le dévissage est brutal. Jusque-là, on se demandait où était passé le président de la République depuis le 14 juillet. Il avait certes envoyé quelques cartes postales : lui, au bord de la mer, en maillot de bain, avec sa compagne, au café de la plage…
Cela ne donnait pas vraiment de lui l’image d’un chef de l’État. Alors que la zone euro flanchait, que les usines fermaient et que la Syrie brûlait, il n’était pas là. Les Français l’ont sanctionné d’une note sévère. Le baromètre Ipsos-le Point lui accorde 11 points de moins qu’au mois de juillet. Les mécontents sont désormais plus nombreux que les satisfaits (47 % contre 44)."
Il poursuit plus loin " Après avoir fait campagne pour la croissance, François Hollande n’a provoqué que la déprime. Pour faire repartir l’économie et la création de richesses – donc d’emplois – , ses cent jours constituent un modèle de ce qu’il ne faut pas faire."
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