Confrontée à un gel de ses ressources,
la région pourrait envisager
de réduire ses 4,7 milliards
d’euros de dépenses annuelles dont une
partie ne profite en rien aux Franciliens
(comme l’achat d’un 3ème hôtel particulier dans le quartier le plus cher de Paris).
C’est bien mal connaître l’exécutif régional.
Malgré la crise, la gauche n’entend pas réduire son très confortable train de vie.
Résultat, malgré un endettement record (700 millions d’emprunt en 2013), il va manquer 300 millions d’euros à la région pour boucler son budget.
Mais la solution est toute trouvée. François Hollande a promis aux régions de leur donner davantage d’autonomie fiscale à l’occasion de la loi sur la décentralisation qui sera votée début 2013.
En clair, il offre aux régions la possibilité d’augmenter encore plus les impôts.
La région de gauche a bien compris le message. Elle attend patiemment la réforme Hollande pour se donner de l’air sur le dos des Franciliens.
Appliquer à la taxe sur les carburants, 300 millions, c’est 3 euros de plus par plein d’essence !
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