Une fois de plus, des représentants des forces de l'ordre ont été pris pour cible dans le cadre d'une action terroriste.
Mes pensées vont aux familles du policier tué et de ses collègues blessés.
Le terroriste, une fois de plus, a fait l'usage d'une arme de guerre.
Fort heureusement, ce terroriste a été rapidement abattu par un autre policier. A cet instant, je reste encore pantois qu'un énergumène candidat à l'élection présidentielle souhaite le désarmement des policiers...
Quelques jours après avoir déjoué une tentative d'attentat, nous voyons bien que le renseignement et l'anticipation ne sont pas efficaces à 100%.
Le terroriste qui a agit hier était "fiché S" pour terrorisme, condamné en 2005 à 15 ans pour avoir attaqué des policiers.
Hier, il était libre et tue un policier alors qu'il n'aurait dû sortir qu'en 2020.
Il est difficile de croire, encore une fois, que la Justice est rendu au nom du Peuple français.
Nous ne pourrons pas nous exonérer d'un débat sur la Justice et son administration, son organisation, ses moyens, sa finalité.
Peux-t-on encore entendre que des milliers de "fichés s", inconnus par les commissariats locaux, puissent sur notre sol agir comme bon leur semble, perçoivent des allocations et préparent tranquillement leurs méfaits ?
Il est du devoir de l’État de neutraliser les individus considérés comme potentiellement dangereux et dont les revendications ne font peu de doute de leurs intentions criminelles.
Commentaires