Avec des agents des services techniques et mon vice-président en charge de la voirie, Yves Roy, je me suis rendu constater l'avancée des travaux de la rue Léo Lagrange.
Ces derniers ont été présentés lors d'une réunion publique organisée à notre demande par la mairie de Montereau et seront réalisés selon le délai prévu et annoncé de 3 semaines.
Ces travaux, conçus en liaison étroite entre la Mairie de Montereau et la CCPM pour les réponses techniques, anticipent le chantier d'enfouissement des réseaux financé par la Mairie et qui sera réalisé dans plusieurs mois par le SDESM, rétablissent la circulation exclusive des piétons sur les trottoirs en créant des stationnement aux normes (les automobilistes n'auront plus à escalader les trottoirs), changent les plaques d'égout, maintiennent les carrefours surélevés, débutent la réalisation de notre schéma de circulation douce.
Ancienne route départementale déclassée et revenant dans le giron de la CCPM, nous avions exigé du Département, lors des négociations qui remontent maintenant à 3 années, le renouvellement du tapis.
Les services techniques du Département nous ont informés fin juillet 2022 qu'ils réaliseront ce chantier les 24, 25 et 26 octobre en menant des chantiers nocturnes, dans l'attente de l'accord de la mairie puisque un autre chantier de nuit dans ce secteur avait été interrompu inopinément par la Mairie il y a quelques mois.
Apparemment ce sont les nouvelles constructions de Confluence Habitat qui ne sont toujours pas raccordées aux réseaux d'eau et d’assainissement, et ce après plusieurs sollicitations, qui obligent ces travaux tardifs pour ne pas détruire dans trois mois ce qui aurait été fait à neuf cet été.
Les riverains que j'ai pu rencontrer n'étaient pas surpris par ce décalage puisque le Département n'avait pas donné de calendrier ferme sur la réalisation de ses travaux lors de la réunion publique.
Par ailleurs tous les participants à la réunion avaient bien compris que les travaux du Département étaient indépendants de ceux de la CCPM.
On peut toujours regretter que ces derniers ne suivent pas les nôtres mais je ne doute pas de la bonne volonté de toutes les institutions.
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